La Chinga avec "Beyond the Sky", le troisième album du groupe, continu, tout comme avec les précédents albums, le voyage dans le temps vers les années 1970, avec 11 titres cet album nous mène vers le bon vieux rock de cette époque, Led Zeppelin, Judas Priest, AC/DC, Nazareth et d’autres standards de l’époque
La Chinga a pour but de passer du bon temps et cela se voit vraiment sur cet album. Ce n’est pas innovant, mais ça s’amuse à se faire plaisir et à nous faire plaisir.
Formé en 2005 à Los Angeles, en Californie. Le groupe est influencé par AC / DC, Motörhead, The Stooges, MC5, The Ramones, Alice Cooper, Led Zeppelin et Kiss. Le premier album "Snew You" est publié en juin 2008, il est nommé l'un des dix meilleurs albums de hard rock de l'année 2008 par SleazeRoxx.com. Le second album "We Do What We Want" est lui aussi produit par Bobby Owsinski et conçu et mixé par Ed Cherney (Rolling Stones, Eric Clapton, Iggy Pop, Bob Dylan, AC / DC, Spinal Tap). Quant au troisième album 'What's It To Ya', il est enregistré et mixé par le légendaire ingénieur d'Abbey Road, Ken Scott (Beatles, David Bowie, Jeff Beck, Elton John, Pink Floyd, Alice Cooper).
"UR Freaking Me Out" donne immédiatement le ton. Une voix râpeuse, un riff entrainant, une section rythmique carrée, quelques discrètes touches de cuivres et un solo de guitare mémorable : rien de tel pour mettre la machine en branle et réveiller les automatismes primitifs. Les pieds s'agitent, le front oscille de haut en bas et les mains se saisissent d'instruments invisibles. Toute résistance est futile. Laissez-vous aller. Tout ira bien durant les 35 minutes qui viennent.
"Holy Hell", "Acetylene Queen ", "Something New Everybody Wants", etc. Chaque titre renouvèle la sensation de bonheur et génère une furieuse envie d'y revenir. Snew a mis tous les atouts de son côté en confiant ses entrainantes compositions à l'oreille experte et aux doigts agiles de Bobby Owsinski (Jimi Hendrix, The Who, Pantera, Neil Young, Iron Maiden, The Ramones) et le résultat frise la perfection.
Dirty Streets, est originaire de Memphis, dans le Tennessee, qui est le lieu et l’âme historique du blues qui fut à l'origine en grande partie du rock moderne. Le groupe est passé des enregistrements indépendants à des projets de studio plus ambitieux et à réalisé cinq albums. Leur cinquième et dernier album, Distractions, est une suite explosive de leur célèbre album White Horse de 2015, qui est dans un style unique de heavy blues rock et parfois psychédélique.
Formé en 2012, les Aussies tracent leur chemin et affirment leur son avec autorité.
Avec ce 3è disque, c’est l’heure de la maturité. Du rock classique avec des moments psychédéliques et chargés de blues pour faire bonne mesure.
Et si cela ne suffisait pas, il y a beaucoup de fuzz, de distorsion et de groove.
Il serait aisé de penser qu’ils en font trop!!!
Les vibes des groupes de hard rock 70’s sont avec eux. Led Zeppelin, Deep Purple et AC/DC (période Bon Scott) sont les principales influences de ces braves garçons.
Il faut absolument découvrir des titres comme « It’s been a long time coming », « Horizon », « Said the spider to the bird » (qui fait penser à The Black Crowes) ou encore « The serpent ».
Palace Of The King continue de se démarquer de la scène moderne en s’inspirant de la lourdeur du blues des 70’s et du psyché 60’s.
Le sextet lyonnais s’est imposé en tant que fer de lance du mouvement flower power revival à la française et on ne pouvait que s’en réjouir. Deux ans plus tard, ils font leur retour avec un EP du nom d’Oidophon Echorama.
Composé de six titres, Gloria reprend là où ils se sont arrêtés deux ans plus tôt avec des morceaux aux doux saveurs 60’s pleinement assumés. Le sextet mi-fille mi-garçons continue à creuser leur sillon avec le premier morceau « Heavy » qui fera résonner les trompettes tout comme les harmonies vocales féminines qui sont un des organes principaux du groupe. On pourra également citer « The White Lily » et la ballade « Gloria’s Recipe » qui marchent dans les ombres de The Mamas and The Papas et de The Ronettes ou encore de La Luz sur « Mama Milker » et « The Rain Is Out » montrant que la troupe menée par l’intrépide Kid Victoria n’a pas dit son dernier mot.
S’achevant sur la très contemporaine « Bad Cat » avec ses magnifiques vocalises redondantes, Gloria fait son retour en finesse et en délicatesse avec ce Oidophon Echorama. Même si ils ne changent pas la donne depuis In Excelsis Stereo, le groupe continue à être dans son élément et constant comme il se doit. Et on attend un véritable second opus pour confirmer définitivement leur statut.
En attendant le nouvel album du groupe "Art And Persuasion"qui sortira en Octobre 2018, voici l'album précédent "Shake The Tree", qui commence par un titre hautement énergique "Johnny Moore," un hymne puissant.
L'énergie ne s'arrête pas là il continue avec un titre plus sombre, "Knife Edge" directement suivi par le morceau éponyme de l'album "Shake The Tree."
Avec des allusions non feinte à des titres épiques aux influences degroupes comme Led Zeppelin et Wolfmother, mais touche aussi dans quelques allusions au grunge, comme Alice N’ Chains et Soundgarden.
David Götz – Bass, Organ, Electric Piano, Mellotron
TITRES :
01. Nuthin'
02. Lucid
03. Tired Eyes
04. Quarter To Dawn
05. High Head Woman
06. Killing Tongue
07. Alibi
08. Who Am I
09. Push Air
Wedge joue du rock influencé par celui de 60's et des 70's des noms comme Deep Purple (avec des solos d'orgue gras, forcément), Led Zeppelin ou les Doors sautent aux oreilles mais on n'est pas dans la copie ici... On peut ajouter à tout ça une dose de groove soul-funk sur certains titres (« Lucid » fait par moments, un peu penser à « Higher Ground » de Stevie Wonder, ou encore un passage de l'excellent et polymorphe « Push air »), du rhythm'n'blues (le vrai pas le R'n'B) sur l'excellent « Alibi » ou encore du rock sudiste (le solo de « Tired Eyes »).
Wedge n'hésite pas à ajouter quelques instruments de plus comme des percussions, du guiro (« Quater to dawn »), des bruits de chaînes très rythmés et de la cloche (« Tired Eyes ») ou encore de l'harmonica sur « Push air ».
Le groupe a un propos vintage mais varié à la manière des Grands-Anciens, les différents morceaux sont bons. On sent que le groupe ressent fortement ce qu'il joue, qu'il joue une musique vraie, qui ne triche pas. Qui aime la musique de 70's et de 60's devrait jeter ses deux oreilles sur ce très bon disque
05. Suite: Cashing Out / Sigh of Relief / The Midnight Dancer / All the Time / Distant Lands
06. The Sweet Lie
07. I Ain’t Hurt
Originaire de Rutherford dans le New Jersey, Garcia Peoples capture parfaitement l'esprit des road trips avec des amis, ou d'une soirée derrière un feu de camp et des soirées sur une plage, avec leur son unique.
Le groupe Cosmic Cash mélangeant des éléments du rock psychédélique et underground des années 70 avec des allusions au power pop et même jazz rock. Tout au long de l'album, le groupe change de style avec des titres doux et d'autres très rock, complexes et à l'indice d'octane élevé avec une facilité incroyable. Vous ne savez jamais où chaque chanson va aller.
David J. Drilling - Vocals, Rhythm Guitar, Slide Guitar
Alex Ford - Bass Guitar
Larry Huff III - Lead Guitar
Jared Bebee - Keyboards, Mandolin, Didgeridoo
Frank Dvorak - Drums, Percussion
Mathew Morgan - Back-up Vocals
TITRES :
1. Hammel Woods
2. Nimbus
3. Soul Breaker
4. Into the Hollow
5. Black Bear
6. Bird Song
7. Creek Blues
8. Autumn
9. Danube Trail
10.Crawling Back
Originaire de Joliet, dans l’Illinois, Arbor Creek puise ses influences dans de nombreux genres et artistes avec son album éponyme récemment sorti. Les influences incluent le groupe Allman Brothers, Led Zeppelin, les Beatles, Pink Floyd et Tedeschi Trucks Band. De ce mélange d'inspiration, nous obtenons un hybride très cool de Southern-Blues-Psychedelic-Progressive-Jam Band-Hard Rock. . Un tel mélange de sous-genres amènera Arbor Creek à être classé sous le nom extrêmement vague d'Alternate Rock